Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Un accident de trajet survient sur le chemin entre la résidence et le lieu de travail (ou entre le travail et le lieu de restauration habituel). Il est reconnu et indemnisé, mais il n’ouvre pas les mêmes droits que l’accident du travail.

Un accident du travail survient pendant l’exécution ou à l’occasion du travail. Il ouvre droit à une protection renforcée (indemnisation spécifique, prise en charge à 100 %, protection contre le licenciement, possibilité de reconnaître la faute inexcusable de l’employeur).

Un accident de trajet est un événement soudain et imprévu entraînant un dommage corporel, survenu lors du déplacement effectué par le salarié entre :

  • sa résidence (principale, secondaire habituelle ou tout autre lieu fréquenté régulièrement pour des raisons familiales) et son lieu de travail,

  • son lieu de travail et le lieu de restauration où il se rend pendant la pause repas.

L'accident a eu lieu entre la résidence du salarié et son lieu de travail

La résidence du salarié peut correspondre à son habitation principale.

Elle peut également être :

  • une résidence secondaire habituelle, c’est-à-dire un lieu de séjours fréquents et réguliers.

  • tout autre lieu fréquenté de manière habituelle pour des motifs d’ordre familial ou d’agrément.

Le trajet entre le domicile et le lieu de travail doit être le plus direct possible.

À titre exceptionnel, certains détours peuvent être admis, par exemple lorsqu’ils sont liés à un covoiturage régulier.

L'accident de trajet peut également être reconnu pour les circonstances suivantes :

  • L'interruption du trajet ou le détour est justifié par les nécessités essentielles de la vie courante (par exemple : arrêt pour faire des courses de la vie courante, détour pour accompagner des enfants à l'école ou à leur lieu de garde)

  • L'interruption du trajet ou le détour est lié au travail (par exemple : récupération d'un colis, déplacement pour se rendre à un rendez-vous professionnel extérieur).

Le trajet doit être effectué dans un délai raisonnable autour de ses horaires de travail, en tenant compte de la durée normale du trajet et du moyen de transport utilisé.

Un accident survenu plusieurs heures avant ou après le travail n’est donc, en principe, pas reconnu comme accident de trajet.

Toutefois, des exceptions existent lorsque le déplacement est directement lié au travail. Exemple : un salarié a un accident en rentrant chez lui après avoir participé, avec l’accord de l’employeur, à un pot ou une réunion organisée dans l’entreprise en dehors de ses horaires habituels.

Attention

C'est au salarié de démontrer que les conditions sont réunies pour que l'accident soit retenu comme un accident de trajet.

Démarches à suivre

L’accident de trajet doit être déclaré par le salarié à l’employeur dans un délai de 24 heures.

Le salarié doit consulter un médecin, qui établira un certificat médical initial.

L’employeur doit ensuite déclarer l’accident à la CPAM ou à la MSA dans les 48 heures (hors week-ends et jours fériés).

Le salarié reçoit une feuille d’accident permettant la prise en charge des soins sans avance de frais.

Conséquences de l’accident de trajet

L’accident de trajet est assimilé à un accident non professionnel. Ses conséquences sont différentes selon qu’il entraîne ou non une incapacité :

En cas d’incapacité temporaire, l’arrêt de travail ouvre droit aux indemnités journalières de la Sécurité sociale, sous conditions, mais ne donne pas lieu à une indemnisation spécifique comparable à celle prévue pour un accident du travail.

En cas d’incapacité permanente, aucune indemnisation spécifique n’est prévue dans le cadre de l’accident de trajet. Il ne s’agit pas d’un accident du travail et il n’ouvre donc pas droit à une rente d’incapacité permanente liée à la législation sur les risques professionnels.

Conséquences sur le licenciement

L’accident de trajet n’entraîne pas de protection particulière contre le licenciement. En cas de rupture du contrat, il n’ouvre pas droit au doublement de l’indemnité de licenciement, réservé uniquement à certaines situations liées aux accidents du travail ou aux maladies professionnelles.

Attention

L’accident de trajet ne doit pas être confondu avec l’accident du travail, qui ouvre des droits spécifiques, notamment en matière de prise en charge et de protection contre le licenciement.

Si l'accident a lieu entre le lieu de travail et le lieu où une formation est suivie, il s'agit d'un accident du travail (particuliers).

    L'accident a eu lieu entre le lieu de travail et le lieu de restauration

    Le lieu de restauration désigne le restaurant, la cantine ou le lieu où le salarié prend habituellement ses repas.

    L'accident de trajet est reconnu si les 3 conditions suivantes sont réunies :

    • L'accident s'est produit entre le lieu de travail et le lieu de restauration

    • Le salarié doit fréquenter régulièrement le lieu de restauration (à une fréquence appréciée par les tribunaux, en fonction de chaque cas), mais pas obligatoirement tous les jours

    • Le salarié doit y prendre son repas pendant les heures de travail (pause déjeuner, par exemple).

    Attention

    C'est au salarié de démontrer que les conditions sont réunies pour que l'accident soit retenu comme un accident de trajet.

    Démarches à suivre

    L’accident de trajet doit être déclaré par le salarié à l’employeur dans un délai de 24 heures.

    Le salarié doit consulter un médecin, qui établira un certificat médical initial.

    L’employeur doit ensuite déclarer l’accident à la CPAM ou à la MSA dans les 48 heures (hors week-ends et jours fériés).

    Le salarié reçoit une feuille d’accident permettant la prise en charge des soins sans avance de frais.

    Conséquences de l’accident de trajet

    L’accident de trajet est assimilé à un accident non professionnel. Ses conséquences sont différentes selon qu’il entraîne ou non une incapacité :

    En cas d’incapacité temporaire, l’arrêt de travail ouvre droit aux indemnités journalières de la Sécurité sociale, sous conditions, mais ne donne pas lieu à une indemnisation spécifique comparable à celle prévue pour un accident du travail.

    En cas d’incapacité permanente, aucune indemnisation spécifique n’est prévue dans le cadre de l’accident de trajet. Il ne s’agit pas d’un accident du travail et il n’ouvre donc pas droit à une rente d’incapacité permanente liée à la législation sur les risques professionnels.

    Conséquences sur le licenciement

    L’accident de trajet n’entraîne pas de protection particulière contre le licenciement. En cas de rupture du contrat, il n’ouvre pas droit au doublement de l’indemnité de licenciement, réservé uniquement à certaines situations liées aux accidents du travail ou aux maladies professionnelles.

    Attention

    L’accident de trajet ne doit pas être confondu avec l’accident du travail, qui ouvre des droits spécifiques, notamment en matière de prise en charge et de protection contre le licenciement.

      Où s'adresser ?

      Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM)

      Si vous dépendez du régime général

      Mutualité sociale agricole (MSA)

      Si vous dépendez du régime agricole

      Références

      Services en ligne et formulaires

      Un accident de trajet survient sur le chemin entre la résidence et le lieu de travail (ou entre le travail et le lieu de restauration habituel). Il est reconnu et indemnisé, mais il n’ouvre pas les mêmes droits que l’accident du travail.

      Un accident du travail survient pendant l’exécution ou à l’occasion du travail. Il ouvre droit à une protection renforcée (indemnisation spécifique, prise en charge à 100 %, protection contre le licenciement, possibilité de reconnaître la faute inexcusable de l’employeur).

      Un accident de trajet est un événement soudain et imprévu entraînant un dommage corporel, survenu lors du déplacement effectué par le salarié entre :

      • sa résidence (principale, secondaire habituelle ou tout autre lieu fréquenté régulièrement pour des raisons familiales) et son lieu de travail,

      • son lieu de travail et le lieu de restauration où il se rend pendant la pause repas.

      L'accident a eu lieu entre la résidence du salarié et son lieu de travail

      La résidence du salarié peut correspondre à son habitation principale.

      Elle peut également être :

      • une résidence secondaire habituelle, c’est-à-dire un lieu de séjours fréquents et réguliers.

      • tout autre lieu fréquenté de manière habituelle pour des motifs d’ordre familial ou d’agrément.

      Le trajet entre le domicile et le lieu de travail doit être le plus direct possible.

      À titre exceptionnel, certains détours peuvent être admis, par exemple lorsqu’ils sont liés à un covoiturage régulier.

      L'accident de trajet peut également être reconnu pour les circonstances suivantes :

      • L'interruption du trajet ou le détour est justifié par les nécessités essentielles de la vie courante (par exemple : arrêt pour faire des courses de la vie courante, détour pour accompagner des enfants à l'école ou à leur lieu de garde)

      • L'interruption du trajet ou le détour est lié au travail (par exemple : récupération d'un colis, déplacement pour se rendre à un rendez-vous professionnel extérieur).

      Le trajet doit être effectué dans un délai raisonnable autour de ses horaires de travail, en tenant compte de la durée normale du trajet et du moyen de transport utilisé.

      Un accident survenu plusieurs heures avant ou après le travail n’est donc, en principe, pas reconnu comme accident de trajet.

      Toutefois, des exceptions existent lorsque le déplacement est directement lié au travail. Exemple : un salarié a un accident en rentrant chez lui après avoir participé, avec l’accord de l’employeur, à un pot ou une réunion organisée dans l’entreprise en dehors de ses horaires habituels.

      Attention

      C'est au salarié de démontrer que les conditions sont réunies pour que l'accident soit retenu comme un accident de trajet.

      Démarches à suivre

      L’accident de trajet doit être déclaré par le salarié à l’employeur dans un délai de 24 heures.

      Le salarié doit consulter un médecin, qui établira un certificat médical initial.

      L’employeur doit ensuite déclarer l’accident à la CPAM ou à la MSA dans les 48 heures (hors week-ends et jours fériés).

      Le salarié reçoit une feuille d’accident permettant la prise en charge des soins sans avance de frais.

      Conséquences de l’accident de trajet

      L’accident de trajet est assimilé à un accident non professionnel. Ses conséquences sont différentes selon qu’il entraîne ou non une incapacité :

      En cas d’incapacité temporaire, l’arrêt de travail ouvre droit aux indemnités journalières de la Sécurité sociale, sous conditions, mais ne donne pas lieu à une indemnisation spécifique comparable à celle prévue pour un accident du travail.

      En cas d’incapacité permanente, aucune indemnisation spécifique n’est prévue dans le cadre de l’accident de trajet. Il ne s’agit pas d’un accident du travail et il n’ouvre donc pas droit à une rente d’incapacité permanente liée à la législation sur les risques professionnels.

      Conséquences sur le licenciement

      L’accident de trajet n’entraîne pas de protection particulière contre le licenciement. En cas de rupture du contrat, il n’ouvre pas droit au doublement de l’indemnité de licenciement, réservé uniquement à certaines situations liées aux accidents du travail ou aux maladies professionnelles.

      Attention

      L’accident de trajet ne doit pas être confondu avec l’accident du travail, qui ouvre des droits spécifiques, notamment en matière de prise en charge et de protection contre le licenciement.

      Si l'accident a lieu entre le lieu de travail et le lieu où une formation est suivie, il s'agit d'un accident du travail (particuliers).

        L'accident a eu lieu entre le lieu de travail et le lieu de restauration

        Le lieu de restauration désigne le restaurant, la cantine ou le lieu où le salarié prend habituellement ses repas.

        L'accident de trajet est reconnu si les 3 conditions suivantes sont réunies :

        • L'accident s'est produit entre le lieu de travail et le lieu de restauration

        • Le salarié doit fréquenter régulièrement le lieu de restauration (à une fréquence appréciée par les tribunaux, en fonction de chaque cas), mais pas obligatoirement tous les jours

        • Le salarié doit y prendre son repas pendant les heures de travail (pause déjeuner, par exemple).

        Attention

        C'est au salarié de démontrer que les conditions sont réunies pour que l'accident soit retenu comme un accident de trajet.

        Démarches à suivre

        L’accident de trajet doit être déclaré par le salarié à l’employeur dans un délai de 24 heures.

        Le salarié doit consulter un médecin, qui établira un certificat médical initial.

        L’employeur doit ensuite déclarer l’accident à la CPAM ou à la MSA dans les 48 heures (hors week-ends et jours fériés).

        Le salarié reçoit une feuille d’accident permettant la prise en charge des soins sans avance de frais.

        Conséquences de l’accident de trajet

        L’accident de trajet est assimilé à un accident non professionnel. Ses conséquences sont différentes selon qu’il entraîne ou non une incapacité :

        En cas d’incapacité temporaire, l’arrêt de travail ouvre droit aux indemnités journalières de la Sécurité sociale, sous conditions, mais ne donne pas lieu à une indemnisation spécifique comparable à celle prévue pour un accident du travail.

        En cas d’incapacité permanente, aucune indemnisation spécifique n’est prévue dans le cadre de l’accident de trajet. Il ne s’agit pas d’un accident du travail et il n’ouvre donc pas droit à une rente d’incapacité permanente liée à la législation sur les risques professionnels.

        Conséquences sur le licenciement

        L’accident de trajet n’entraîne pas de protection particulière contre le licenciement. En cas de rupture du contrat, il n’ouvre pas droit au doublement de l’indemnité de licenciement, réservé uniquement à certaines situations liées aux accidents du travail ou aux maladies professionnelles.

        Attention

        L’accident de trajet ne doit pas être confondu avec l’accident du travail, qui ouvre des droits spécifiques, notamment en matière de prise en charge et de protection contre le licenciement.

          Où s'adresser ?

          Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM)

          Si vous dépendez du régime général

          Mutualité sociale agricole (MSA)

          Si vous dépendez du régime agricole

          Références

          Services en ligne et formulaires

          A noter :
          le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

          Un accident de trajet survient sur le chemin entre la résidence et le lieu de travail (ou entre le travail et le lieu de restauration habituel). Il est reconnu et indemnisé, mais il n’ouvre pas les mêmes droits que l’accident du travail.

          Un accident du travail survient pendant l’exécution ou à l’occasion du travail. Il ouvre droit à une protection renforcée (indemnisation spécifique, prise en charge à 100 %, protection contre le licenciement, possibilité de reconnaître la faute inexcusable de l’employeur).

          Un accident de trajet est un événement soudain et imprévu entraînant un dommage corporel, survenu lors du déplacement effectué par le salarié entre :

          • sa résidence (principale, secondaire habituelle ou tout autre lieu fréquenté régulièrement pour des raisons familiales) et son lieu de travail,

          • son lieu de travail et le lieu de restauration où il se rend pendant la pause repas.

          L'accident a eu lieu entre la résidence du salarié et son lieu de travail

          La résidence du salarié peut correspondre à son habitation principale.

          Elle peut également être :

          • une résidence secondaire habituelle, c’est-à-dire un lieu de séjours fréquents et réguliers.

          • tout autre lieu fréquenté de manière habituelle pour des motifs d’ordre familial ou d’agrément.

          Le trajet entre le domicile et le lieu de travail doit être le plus direct possible.

          À titre exceptionnel, certains détours peuvent être admis, par exemple lorsqu’ils sont liés à un covoiturage régulier.

          L'accident de trajet peut également être reconnu pour les circonstances suivantes :

          • L'interruption du trajet ou le détour est justifié par les nécessités essentielles de la vie courante (par exemple : arrêt pour faire des courses de la vie courante, détour pour accompagner des enfants à l'école ou à leur lieu de garde)

          • L'interruption du trajet ou le détour est lié au travail (par exemple : récupération d'un colis, déplacement pour se rendre à un rendez-vous professionnel extérieur).

          Le trajet doit être effectué dans un délai raisonnable autour de ses horaires de travail, en tenant compte de la durée normale du trajet et du moyen de transport utilisé.

          Un accident survenu plusieurs heures avant ou après le travail n’est donc, en principe, pas reconnu comme accident de trajet.

          Toutefois, des exceptions existent lorsque le déplacement est directement lié au travail. Exemple : un salarié a un accident en rentrant chez lui après avoir participé, avec l’accord de l’employeur, à un pot ou une réunion organisée dans l’entreprise en dehors de ses horaires habituels.

          Attention

          C'est au salarié de démontrer que les conditions sont réunies pour que l'accident soit retenu comme un accident de trajet.

          Démarches à suivre

          L’accident de trajet doit être déclaré par le salarié à l’employeur dans un délai de 24 heures.

          Le salarié doit consulter un médecin, qui établira un certificat médical initial.

          L’employeur doit ensuite déclarer l’accident à la CPAM ou à la MSA dans les 48 heures (hors week-ends et jours fériés).

          Le salarié reçoit une feuille d’accident permettant la prise en charge des soins sans avance de frais.

          Conséquences de l’accident de trajet

          L’accident de trajet est assimilé à un accident non professionnel. Ses conséquences sont différentes selon qu’il entraîne ou non une incapacité :

          En cas d’incapacité temporaire, l’arrêt de travail ouvre droit aux indemnités journalières de la Sécurité sociale, sous conditions, mais ne donne pas lieu à une indemnisation spécifique comparable à celle prévue pour un accident du travail.

          En cas d’incapacité permanente, aucune indemnisation spécifique n’est prévue dans le cadre de l’accident de trajet. Il ne s’agit pas d’un accident du travail et il n’ouvre donc pas droit à une rente d’incapacité permanente liée à la législation sur les risques professionnels.

          Conséquences sur le licenciement

          L’accident de trajet n’entraîne pas de protection particulière contre le licenciement. En cas de rupture du contrat, il n’ouvre pas droit au doublement de l’indemnité de licenciement, réservé uniquement à certaines situations liées aux accidents du travail ou aux maladies professionnelles.

          Attention

          L’accident de trajet ne doit pas être confondu avec l’accident du travail, qui ouvre des droits spécifiques, notamment en matière de prise en charge et de protection contre le licenciement.

          Si l'accident a lieu entre le lieu de travail et le lieu où une formation est suivie, il s'agit d'un accident du travail (particuliers).

            L'accident a eu lieu entre le lieu de travail et le lieu de restauration

            Le lieu de restauration désigne le restaurant, la cantine ou le lieu où le salarié prend habituellement ses repas.

            L'accident de trajet est reconnu si les 3 conditions suivantes sont réunies :

            • L'accident s'est produit entre le lieu de travail et le lieu de restauration

            • Le salarié doit fréquenter régulièrement le lieu de restauration (à une fréquence appréciée par les tribunaux, en fonction de chaque cas), mais pas obligatoirement tous les jours

            • Le salarié doit y prendre son repas pendant les heures de travail (pause déjeuner, par exemple).

            Attention

            C'est au salarié de démontrer que les conditions sont réunies pour que l'accident soit retenu comme un accident de trajet.

            Démarches à suivre

            L’accident de trajet doit être déclaré par le salarié à l’employeur dans un délai de 24 heures.

            Le salarié doit consulter un médecin, qui établira un certificat médical initial.

            L’employeur doit ensuite déclarer l’accident à la CPAM ou à la MSA dans les 48 heures (hors week-ends et jours fériés).

            Le salarié reçoit une feuille d’accident permettant la prise en charge des soins sans avance de frais.

            Conséquences de l’accident de trajet

            L’accident de trajet est assimilé à un accident non professionnel. Ses conséquences sont différentes selon qu’il entraîne ou non une incapacité :

            En cas d’incapacité temporaire, l’arrêt de travail ouvre droit aux indemnités journalières de la Sécurité sociale, sous conditions, mais ne donne pas lieu à une indemnisation spécifique comparable à celle prévue pour un accident du travail.

            En cas d’incapacité permanente, aucune indemnisation spécifique n’est prévue dans le cadre de l’accident de trajet. Il ne s’agit pas d’un accident du travail et il n’ouvre donc pas droit à une rente d’incapacité permanente liée à la législation sur les risques professionnels.

            Conséquences sur le licenciement

            L’accident de trajet n’entraîne pas de protection particulière contre le licenciement. En cas de rupture du contrat, il n’ouvre pas droit au doublement de l’indemnité de licenciement, réservé uniquement à certaines situations liées aux accidents du travail ou aux maladies professionnelles.

            Attention

            L’accident de trajet ne doit pas être confondu avec l’accident du travail, qui ouvre des droits spécifiques, notamment en matière de prise en charge et de protection contre le licenciement.

              Où s'adresser ?

              Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM)

              Si vous dépendez du régime général

              Mutualité sociale agricole (MSA)

              Si vous dépendez du régime agricole

              Références

              Services en ligne et formulaires

              Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
              Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

              Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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              La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

              Demande d'implantation grue

              Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

              Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
              - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Mardi de 8h30 à 12h
              - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Jeudi de 13h30 à 17h
              - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h