Travaux
Oui, l'employeur peut refuser au salarié une demande de départ en congé.
Toutefois, l'employeur doit respecter les dispositions conventionnelles qui s'appliquent dans l'entreprise.
Le refus de l'employeur ne doit pas être abusif. Ce refus peut être justifié, par exemple, par la continuité du service ou une forte activité dans l'entreprise ou des circonstances exceptionnelles.
En cas de refus de l'employeur des dates proposées par le salarié, le congé du salarié doit être pris à une autre date.
L'employeur doit aviser les salariés de l'entreprise de la période de prise de congés au moins 2 mois avant l'ouverture de cette période.
L'ordre des départs en congés est communiqué, par tout moyen accessible, à tous les salariés.
Les dates et l'ordre des départs en congés sont fixés :
Soit par convention collective, accord collectif d'entreprise ou accord de branche
Soit, en l'absence de convention ou d'accord, après avis du comité social et économique (CSE) (particuliers) s'il existe un CSE dans l'entreprise.
Sauf en cas de circonstances exceptionnelles (par exemple, l'entreprise doit faire face à une commande exceptionnelle), l'employeur ne peut pas modifier l'ordre et les dates de départ moins d'un mois avant la date de départ prévue.
En l'absence de réponse de l'employeur à la suite d'une demande de congés, le salarié ne commet pas de faute (particuliers) en partant si l'employeur avait connaissance des dates des congés du salarié et qu'il n'a formulé aucun refus. Dans ce cas, l'absence du salarié ne constitue pas un abandon de poste (particuliers).
Le salarié peut demander à l'employeur de prendre tout ou partie de ses congés payés par anticipation. Toutefois, l'employeur n'est pas obligé d'accepter.
À noter
L'employeur ne peut pas refuser la demande du salarié s'il absente dans le cadre d'un congé lié à un événement familial (mariage ou Pacs (particuliers), naissance ou adoption (particuliers), décès d'un membre de sa famille (particuliers)).
Voir aussi...
- Congés payés du salarié dans le secteur privé (particuliers)
Références
Code du travail : articles L3141-12 à L3141-14
Ordre des départs (dispositions d'ordre public)
Code du travail : article L3141-15
Ordre des départs (champ de la négociation collective)
Code du travail : article L3141-16
Ordre des départs (dispositions supplétives)
Code du travail : articles D3141-5 et D3141-6
Communication aux salariés de l'ordre des départs en congés
Code du travail : articles D3141-1 et D3141-2
Droit au congé légal
Code du travail : articles R3143-1 à R3143-3
Dispositions pénales
Oui, l'employeur peut refuser au salarié une demande de départ en congé.
Toutefois, l'employeur doit respecter les dispositions conventionnelles qui s'appliquent dans l'entreprise.
Le refus de l'employeur ne doit pas être abusif. Ce refus peut être justifié, par exemple, par la continuité du service ou une forte activité dans l'entreprise ou des circonstances exceptionnelles.
En cas de refus de l'employeur des dates proposées par le salarié, le congé du salarié doit être pris à une autre date.
L'employeur doit aviser les salariés de l'entreprise de la période de prise de congés au moins 2 mois avant l'ouverture de cette période.
L'ordre des départs en congés est communiqué, par tout moyen accessible, à tous les salariés.
Les dates et l'ordre des départs en congés sont fixés :
Soit par convention collective, accord collectif d'entreprise ou accord de branche
Soit, en l'absence de convention ou d'accord, après avis du comité social et économique (CSE) (particuliers) s'il existe un CSE dans l'entreprise.
Sauf en cas de circonstances exceptionnelles (par exemple, l'entreprise doit faire face à une commande exceptionnelle), l'employeur ne peut pas modifier l'ordre et les dates de départ moins d'un mois avant la date de départ prévue.
En l'absence de réponse de l'employeur à la suite d'une demande de congés, le salarié ne commet pas de faute (particuliers) en partant si l'employeur avait connaissance des dates des congés du salarié et qu'il n'a formulé aucun refus. Dans ce cas, l'absence du salarié ne constitue pas un abandon de poste (particuliers).
Le salarié peut demander à l'employeur de prendre tout ou partie de ses congés payés par anticipation. Toutefois, l'employeur n'est pas obligé d'accepter.
À noter
L'employeur ne peut pas refuser la demande du salarié s'il absente dans le cadre d'un congé lié à un événement familial (mariage ou Pacs (particuliers), naissance ou adoption (particuliers), décès d'un membre de sa famille (particuliers)).
Voir aussi...
- Congés payés du salarié dans le secteur privé (particuliers)
Références
Code du travail : articles L3141-12 à L3141-14
Ordre des départs (dispositions d'ordre public)
Code du travail : article L3141-15
Ordre des départs (champ de la négociation collective)
Code du travail : article L3141-16
Ordre des départs (dispositions supplétives)
Code du travail : articles D3141-5 et D3141-6
Communication aux salariés de l'ordre des départs en congés
Code du travail : articles D3141-1 et D3141-2
Droit au congé légal
Code du travail : articles R3143-1 à R3143-3
Dispositions pénales
A noter :
le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).
Oui, l'employeur peut refuser au salarié une demande de départ en congé.
Toutefois, l'employeur doit respecter les dispositions conventionnelles qui s'appliquent dans l'entreprise.
Le refus de l'employeur ne doit pas être abusif. Ce refus peut être justifié, par exemple, par la continuité du service ou une forte activité dans l'entreprise ou des circonstances exceptionnelles.
En cas de refus de l'employeur des dates proposées par le salarié, le congé du salarié doit être pris à une autre date.
L'employeur doit aviser les salariés de l'entreprise de la période de prise de congés au moins 2 mois avant l'ouverture de cette période.
L'ordre des départs en congés est communiqué, par tout moyen accessible, à tous les salariés.
Les dates et l'ordre des départs en congés sont fixés :
Soit par convention collective, accord collectif d'entreprise ou accord de branche
Soit, en l'absence de convention ou d'accord, après avis du comité social et économique (CSE) (particuliers) s'il existe un CSE dans l'entreprise.
Sauf en cas de circonstances exceptionnelles (par exemple, l'entreprise doit faire face à une commande exceptionnelle), l'employeur ne peut pas modifier l'ordre et les dates de départ moins d'un mois avant la date de départ prévue.
En l'absence de réponse de l'employeur à la suite d'une demande de congés, le salarié ne commet pas de faute (particuliers) en partant si l'employeur avait connaissance des dates des congés du salarié et qu'il n'a formulé aucun refus. Dans ce cas, l'absence du salarié ne constitue pas un abandon de poste (particuliers).
Le salarié peut demander à l'employeur de prendre tout ou partie de ses congés payés par anticipation. Toutefois, l'employeur n'est pas obligé d'accepter.
À noter
L'employeur ne peut pas refuser la demande du salarié s'il absente dans le cadre d'un congé lié à un événement familial (mariage ou Pacs (particuliers), naissance ou adoption (particuliers), décès d'un membre de sa famille (particuliers)).
Voir aussi...
- Congés payés du salarié dans le secteur privé (particuliers)
Références
Code du travail : articles L3141-12 à L3141-14
Ordre des départs (dispositions d'ordre public)
Code du travail : article L3141-15
Ordre des départs (champ de la négociation collective)
Code du travail : article L3141-16
Ordre des départs (dispositions supplétives)
Code du travail : articles D3141-5 et D3141-6
Communication aux salariés de l'ordre des départs en congés
Code du travail : articles D3141-1 et D3141-2
Droit au congé légal
Code du travail : articles R3143-1 à R3143-3
Dispositions pénales
Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.
Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.
La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.
Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr
Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
- Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Mardi de 8h30 à 12h
- Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Jeudi de 13h30 à 17h
- Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h

