Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Vous êtes fonctionnaire ou contractuel et vous n'avez pas pu prendre tout ou partie de vos congés annuels en raison d'un congé pour raison de santé ?

Les congés annuels non pris peuvent être reportés sous certaines conditions.

Nous vous présentons les informations à connaître selon votre fonction publique d'appartenance (État - FPE, territoriale - FPT, hospitalière - FPH).

    FPE

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux restructurations et toutes autres indemnités de même nature

    • Majorations et indexations liées à une affectation outre-mer, lorsque leur versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnité de résidence à l'étranger lorsque son versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

    FPT

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux restructurations et toutes autres indemnités de même nature

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

    FPH

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux réorganisations et toutes autres indemnités de même nature

    • Majorations et indexations liées à une affectation outre-mer, lorsque leur versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

Voir aussi...

Voir aussi...

Vous êtes fonctionnaire ou contractuel et vous n'avez pas pu prendre tout ou partie de vos congés annuels en raison d'un congé pour raison de santé ?

Les congés annuels non pris peuvent être reportés sous certaines conditions.

Nous vous présentons les informations à connaître selon votre fonction publique d'appartenance (État - FPE, territoriale - FPT, hospitalière - FPH).

    FPE

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux restructurations et toutes autres indemnités de même nature

    • Majorations et indexations liées à une affectation outre-mer, lorsque leur versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnité de résidence à l'étranger lorsque son versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

    FPT

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux restructurations et toutes autres indemnités de même nature

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

    FPH

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux réorganisations et toutes autres indemnités de même nature

    • Majorations et indexations liées à une affectation outre-mer, lorsque leur versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

Voir aussi...

Voir aussi...

A noter :
le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

Vous êtes fonctionnaire ou contractuel et vous n'avez pas pu prendre tout ou partie de vos congés annuels en raison d'un congé pour raison de santé ?

Les congés annuels non pris peuvent être reportés sous certaines conditions.

Nous vous présentons les informations à connaître selon votre fonction publique d'appartenance (État - FPE, territoriale - FPT, hospitalière - FPH).

    FPE

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux restructurations et toutes autres indemnités de même nature

    • Majorations et indexations liées à une affectation outre-mer, lorsque leur versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnité de résidence à l'étranger lorsque son versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

    FPT

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux restructurations et toutes autres indemnités de même nature

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

    FPH

    Les congés annuels doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre.

    Les congés non pris au 31 décembre peuvent être reportés sur l'année suivante sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur ou, sous certaines conditions, versés sur un compte épargne-temps (CET) (particuliers).

    Toutefois, lorsque les congés annuels n'ont pas été pris en raison de congés pour raison de santé, ils sont automatiquement reportés dans la limite de 4 semaines sur une période de 15 mois.

    Les congés ouvrant droit à ce report de 15 mois sont les suivants :

    La période de 15 mois peut être prolongée sur autorisation exceptionnelle de l’administration employeur.

    La période de 15 mois débute à partir de la date de reprise des fonctions.

    Pour les congés annuels acquis pendant le congé pour raison de santé, la période de 15 mois débute, au plus tard, à la fin de l'année pour laquelle le congé annuel est dû.

    Les congés annuels non pris ne donnent pas lieu à indemnité compensatrice, sauf en cas de départ définitif de la fonction publique.

    Lorsque vous quittez la fonction publique (retraite, démission, fin de contrat,...) et n'avez pas pu prendre tous vos congés annuels avant votre départ en raison de congés pour raison de santé, les congés non pris donnent lieu à une indemnité compensatrice.

    La durée des congés annuels non pris qui donnent lieu à indemnité est de 4 semaines maximum.

    La rémunération mensuelle brute prise en compte pour le calcul de l'indemnité compensatrice de congé annuel est égal à la dernière rémunération versée lors de votre dernier mois complet d'exercice effectif de vos fonctions sur un mois d'exercice complet.

    Cette rémunération tient compte éventuellement des évolutions de votre situation statutaire ou indemnitaire qui sont intervenues entre la dernière date d'exercice effectif de vos fonctions et la date de fin de relation de travail.

    Elle comprend le traitement indiciaire, l'indemnité de résidence, le supplément familial de traitement (SFT) et les primes et indemnités.

    Toutefois, les éléments de rémunération suivants ne sont pas pris en compte :

    • Versements exceptionnels ou occasionnels, notamment liés à l'appréciation individuelle ou collective de la manière de servir

    • Remboursement de frais

    • Participations au financement des garanties de la protection sociale complémentaire

    • Versements exceptionnels ou occasionnels liées aux indemnités relatives aux primo-affectations, aux mobilités et aux réorganisations et toutes autres indemnités de même nature

    • Majorations et indexations liées à une affectation outre-mer, lorsque leur versement est interrompu avant la fin de la relation de travail

    • Indemnités versées en contrepartie d'une activité accessoire et autres indemnités non directement liées à l'emploi

    • Versements exceptionnels ou occasionnels de primes et indemnités correspondant à un fait générateur unique

    • Indemnités liées à l'organisation du travail et au dépassement effectif du cycle de travail.

    L'indemnité compensatrice de congés annuels est soumise aux mêmes cotisations que votre rémunération.

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Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

Demande d'implantation grue

Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
- Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Mardi de 8h30 à 12h
- Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Jeudi de 13h30 à 17h
- Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h