Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Oui, l'employeur est en droit d'exiger du salarié un justificatif s'il s'absente du travail, même pour une seule journée. Toute absence doit être justifiée, quelles qu'en soient la durée et la raison.

Type de justificatif recevable

L'interruption de travail peut être justifiée par :

  • un certificat médical ou un arrêt de travail

  • ou une attestation de rendez-vous médical

  • ou un congé exceptionnel (décès d’un proche, hospitalisation d’un enfant,...), à condition qu'il ait été validé préalablement par votre employeur,

  • ou un congé payé, à condition qu’il ait été autorisé préalablement par l’employeur.

Si le salarié souhaite prendre un congé payé, il doit obtenir l'autorisation préalable de son employeur. En l'absence d'autorisation, le salarié risque une sanction (avertissement ou licenciement pour faute).

Selon les règles en vigueur dans l'entreprise (par exemple, le règlement intérieur), l'autorisation de l'employeur pourra être expresse (c'est-à-dire prévue par écrit) ou tacite (c'est-à-dire sans un accord explicite).

S'il n'y a pas de règles dans l'entreprise, les juges considèrent que le salarié qui, de bonne foi, part en congé payé sans avoir eu l'accord de l'employeur ne peut pas être sanctionné.

Obligation d'informer rapidement l'employeur

En cas d'absence, le salarié doit prévenir, par tout moyen (appel téléphonique, mail, SMS,...), l'employeur ou la direction des ressources humaines, et ce dans les meilleurs délais.

Conséquence d'une absence non justifiée

Si l'absence du salarié n'est pas justifiée, le salarié se met en faute vis-à-vis de son employeur.

Cette faute peut entraîner une sanction disciplinaire (particuliers) (avertissement, blâme, voire un licenciement en cas d'absences injustifiées répétées).

En l'absence de justification ou de congé posé, l'employeur peut également retenir le salaire correspondant à la journée non travaillée.

Document à transmettre en cas d'arrêt maladie

Si le salarié est malade, l'organisme de Sécurité sociale (CPAMMSA) doit être prévenu dans les 48 heures qui suivent l'absence.

Le salarié doit adresser son arrêt maladie (particuliers) (feuillet 1 et 2) à l'organisme de Sécurité sociale et le feuillet 3 à l'employeur.

L'envoi de ces documents est obligatoire pour percevoir, si le salarié y a droit, les indemnités versées par la CPAM ou la MSA (particuliers) et l'éventuel complément de salaire par l'employeur.

Où s'adresser ?

Caisse régionale d'assurance maladie d'Île-de-France (Cramif)

Si le salarié dépend du régime général

Mutualité sociale agricole (MSA)

Si le salarié dépend du régime agricole

Références

Oui, l'employeur est en droit d'exiger du salarié un justificatif s'il s'absente du travail, même pour une seule journée. Toute absence doit être justifiée, quelles qu'en soient la durée et la raison.

Type de justificatif recevable

L'interruption de travail peut être justifiée par :

  • un certificat médical ou un arrêt de travail

  • ou une attestation de rendez-vous médical

  • ou un congé exceptionnel (décès d’un proche, hospitalisation d’un enfant,...), à condition qu'il ait été validé préalablement par votre employeur,

  • ou un congé payé, à condition qu’il ait été autorisé préalablement par l’employeur.

Si le salarié souhaite prendre un congé payé, il doit obtenir l'autorisation préalable de son employeur. En l'absence d'autorisation, le salarié risque une sanction (avertissement ou licenciement pour faute).

Selon les règles en vigueur dans l'entreprise (par exemple, le règlement intérieur), l'autorisation de l'employeur pourra être expresse (c'est-à-dire prévue par écrit) ou tacite (c'est-à-dire sans un accord explicite).

S'il n'y a pas de règles dans l'entreprise, les juges considèrent que le salarié qui, de bonne foi, part en congé payé sans avoir eu l'accord de l'employeur ne peut pas être sanctionné.

Obligation d'informer rapidement l'employeur

En cas d'absence, le salarié doit prévenir, par tout moyen (appel téléphonique, mail, SMS,...), l'employeur ou la direction des ressources humaines, et ce dans les meilleurs délais.

Conséquence d'une absence non justifiée

Si l'absence du salarié n'est pas justifiée, le salarié se met en faute vis-à-vis de son employeur.

Cette faute peut entraîner une sanction disciplinaire (particuliers) (avertissement, blâme, voire un licenciement en cas d'absences injustifiées répétées).

En l'absence de justification ou de congé posé, l'employeur peut également retenir le salaire correspondant à la journée non travaillée.

Document à transmettre en cas d'arrêt maladie

Si le salarié est malade, l'organisme de Sécurité sociale (CPAMMSA) doit être prévenu dans les 48 heures qui suivent l'absence.

Le salarié doit adresser son arrêt maladie (particuliers) (feuillet 1 et 2) à l'organisme de Sécurité sociale et le feuillet 3 à l'employeur.

L'envoi de ces documents est obligatoire pour percevoir, si le salarié y a droit, les indemnités versées par la CPAM ou la MSA (particuliers) et l'éventuel complément de salaire par l'employeur.

Où s'adresser ?

Caisse régionale d'assurance maladie d'Île-de-France (Cramif)

Si le salarié dépend du régime général

Mutualité sociale agricole (MSA)

Si le salarié dépend du régime agricole

Références

A noter :
le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

Oui, l'employeur est en droit d'exiger du salarié un justificatif s'il s'absente du travail, même pour une seule journée. Toute absence doit être justifiée, quelles qu'en soient la durée et la raison.

Type de justificatif recevable

L'interruption de travail peut être justifiée par :

  • un certificat médical ou un arrêt de travail

  • ou une attestation de rendez-vous médical

  • ou un congé exceptionnel (décès d’un proche, hospitalisation d’un enfant,...), à condition qu'il ait été validé préalablement par votre employeur,

  • ou un congé payé, à condition qu’il ait été autorisé préalablement par l’employeur.

Si le salarié souhaite prendre un congé payé, il doit obtenir l'autorisation préalable de son employeur. En l'absence d'autorisation, le salarié risque une sanction (avertissement ou licenciement pour faute).

Selon les règles en vigueur dans l'entreprise (par exemple, le règlement intérieur), l'autorisation de l'employeur pourra être expresse (c'est-à-dire prévue par écrit) ou tacite (c'est-à-dire sans un accord explicite).

S'il n'y a pas de règles dans l'entreprise, les juges considèrent que le salarié qui, de bonne foi, part en congé payé sans avoir eu l'accord de l'employeur ne peut pas être sanctionné.

Obligation d'informer rapidement l'employeur

En cas d'absence, le salarié doit prévenir, par tout moyen (appel téléphonique, mail, SMS,...), l'employeur ou la direction des ressources humaines, et ce dans les meilleurs délais.

Conséquence d'une absence non justifiée

Si l'absence du salarié n'est pas justifiée, le salarié se met en faute vis-à-vis de son employeur.

Cette faute peut entraîner une sanction disciplinaire (particuliers) (avertissement, blâme, voire un licenciement en cas d'absences injustifiées répétées).

En l'absence de justification ou de congé posé, l'employeur peut également retenir le salaire correspondant à la journée non travaillée.

Document à transmettre en cas d'arrêt maladie

Si le salarié est malade, l'organisme de Sécurité sociale (CPAMMSA) doit être prévenu dans les 48 heures qui suivent l'absence.

Le salarié doit adresser son arrêt maladie (particuliers) (feuillet 1 et 2) à l'organisme de Sécurité sociale et le feuillet 3 à l'employeur.

L'envoi de ces documents est obligatoire pour percevoir, si le salarié y a droit, les indemnités versées par la CPAM ou la MSA (particuliers) et l'éventuel complément de salaire par l'employeur.

Où s'adresser ?

Caisse régionale d'assurance maladie d'Île-de-France (Cramif)

Si le salarié dépend du régime général

Mutualité sociale agricole (MSA)

Si le salarié dépend du régime agricole

Références

Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

F12734.xml fichier non trouvé

La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

Demande d'implantation grue

Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
- Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Mardi de 8h30 à 12h
- Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
- Jeudi de 13h30 à 17h
- Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h