Travaux

Avant d'engager des travaux de réhabilitation ou de construction, vous devez respecter certaines formalités.

Si, dans un immeuble en copropriété, un sinistre (incendie ou dégât des eaux) survient dans les parties communes ou dans un logement privatif, l'indemnisation peut s’avérer complexe, car plusieurs assurances peuvent être impliquées, selon l’origine et l’emplacement du sinistre. Qui prend en charge les réparations et comment fonctionne l'indemnisation ? Voici les informations à connaître.

Pour simplifier la gestion de ces situations, les compagnies d’assurance ont mis en place une convention spécifique : la convention IRSI. Elle s’applique aux sinistres ayant pour origine une partie privative comme aux sinistres affectant les parties communes, dès lors que certaines conditions sont remplies.

Quelles sont les assurances qui couvrent les parties communes d'un immeuble ?

Les parties communes d'un immeuble peuvent être couvertes par 3 types d'assurance :

Chaque immeuble en copropriété doit être assuré par une couverture collective, au moins en ce qui concerne la responsabilité civile (particuliers).

L'assurance collective de la copropriété sert à indemniser les victimes des dégâts qui trouvent leur origine dans les parties communes de l'immeuble. Il s'agit par exemple de sinistres provoqués par des éléments du bâtiment (par exemple, chute d'immeuble, chute d'une tuile, marche d'escalier glissante) ou par une personne affectée au service de l'immeuble (gardien, par exemple).

C'est le syndicat des copropriétaires qui doit souscrire l'assurance responsabilité civile pour le compte de la copropriété.

Il peut, en cas de nécessité, souscrire le contrat sans mandat de l'assemblée générale des copropriétaires, mais l'assemblée générale peut annuler ou modifier sa décision.

Chaque copropriétaire, qu'il soit occupant de son logement ou non, doit également l'assurer, au minimum, avec la garantie responsabilité civile (particuliers).

Cette assurance permet de couvrir le copropriétaire qui l'a souscrite, lorsqu'un sinistre prend naissance dans son logement et a causé des dommages aux occupants de son logement, à des voisins ou aux parties communes de l'immeuble.

L'assurance multirisques de l'immeuble est une assurance facultative qui peut être souscrite par le syndicat des copropriétaires. Cette assurance permet d'indemniser les dommages subis par les parties communes de l'immeuble qui ne peuvent pas être indemnisés par l'assurance responsabilité d'un copropriétaire.

À noter

La convention IRSI concerne les dégâts des eaux et incendies survenus dans les immeubles d'habitation, pour lesquels le montant des dommages matériels n'excède pas 5 000 € HT. Elle vise à simplifier la gestion des sinistres en désignant un seul assureur pour chaque mission, y compris lorsque le sinistre touche une partie privative et affecte des tiers ou les parties commune.

Qui doit déclarer le sinistre qui affecte les parties communes d'un immeuble ?

En cas de dommage causé par un événement qui a pris naissance dans les parties communes de l'immeuble, c'est le syndic qui doit faire une déclaration à l'assurance de la copropriété.

L'assurance de la copropriété ne fonctionnera que si le sinistre concerne une partie commune.

En cas de dommages causés par un événement qui a pris naissance dans une partie privative de l'immeuble, c'est le copropriétaire du logement concerné qui doit faire une déclaration à son assurance.

L'assurance ne fonctionnera pas si le sinistre a pris naissance dans une partie commune.

La convention IRSI permet d'éviter les difficultés liées à la multiplicité des assureurs qui peuvent être concernés par la gestion d'un sinistre ayant un lien avec les parties communes d'un immeuble,

La convention IRSI est un accord entre les compagnies d'assurance pour faciliter la prise en charge et l'indemnisation des sinistres incendie et dégâts des eaux pour les immeubles en copropriété.

Elle prévoit qu'un seul assureur doit être désigné pour assurer l'une des 3 missions suivantes :

  • Gestion du dossier de demande d'indemnisation (prise en charge de la demande, estimation du préjudice, réalisation d'expertises etc..)

  • Recherche et réparation de fuite en cas de dégâts des eaux

  • Versement de l'indemnisation aux victimes du sinistre

La convention fixe également les règles claires de désignation des assureurs chargés de ces missions.

Elle s'applique aux sinistres dégâts dont la réparation des dommages ne dépasse pas 5 000 € hors taxes.

Attention

La convention IRSI ne s'applique pas aux sinistres intervenus dans les chambres d'hôtel et dans les chambres d'hôtes. Elle ne s'applique pas non plus aux sinistres dont l’origine est extérieure à l’immeuble (ex. : intempéries, inondations, catastrophe naturelle), et à ceux dépassant les seuils financiers définis.

Comment se fait la gestion d'un litige parties communes via la convention IRSI ?

Désignation d'un assureur gestionnaire du dossier d'indemnisation

La convention prévoit qu'en cas de sinistre dans les parties communes d'un immeuble, c'est l'assureur de la copropriété qui est l'assureur gestionnaire du sinistre.

Désignation d'un assureur chargé de la recherche de fuite (si dégât des eaux)

En cas de dégât des eaux affectant les parties communes d’un immeuble, la convention IRSI prévoit que c’est l’assureur de la copropriété qui organise la recherche de fuite.

Toutefois, si l’origine de la fuite est localisée dans un lot privatif, c’est l’assureur du propriétaire de ce local qui doit en assumer le coût, même si la recherche a été engagée par un autre assureur (celui de la copropriété ou d’un voisin lésé, par exemple). Cette règle vise à clarifier les responsabilités et à éviter les blocages entre assureurs.

Désignation d'un assureur chargé de l'indemnisation

La convention IRSI fixe des règles de désignation de l'assureur chargé de l'indemnisation.

La situation varie selon la valeur du litige.

Préjudice de moins de 1 600 €

Pour les dégâts dont la valeur est inférieure à 1 600 €  hors taxes, c'est l'assureur gestionnaire qui indemnise, sans recours possible contre un autre assureur.

    Préjudice de plus de 1 600 €

    Pour les dégâts dont la valeur est comprise entre 1 600 €  et 5 000 € hors taxes, l'assureur gestionnaire doit effectuer une expertise pour le compte des autres assureurs.

    Il doit indemniser les victimes, mais avec la possibilité d'exercer des recours contre les autres assureurs.

      Pour en savoir plus

      Voir aussi...

      Si, dans un immeuble en copropriété, un sinistre (incendie ou dégât des eaux) survient dans les parties communes ou dans un logement privatif, l'indemnisation peut s’avérer complexe, car plusieurs assurances peuvent être impliquées, selon l’origine et l’emplacement du sinistre. Qui prend en charge les réparations et comment fonctionne l'indemnisation ? Voici les informations à connaître.

      Pour simplifier la gestion de ces situations, les compagnies d’assurance ont mis en place une convention spécifique : la convention IRSI. Elle s’applique aux sinistres ayant pour origine une partie privative comme aux sinistres affectant les parties communes, dès lors que certaines conditions sont remplies.

      Quelles sont les assurances qui couvrent les parties communes d'un immeuble ?

      Les parties communes d'un immeuble peuvent être couvertes par 3 types d'assurance :

      Chaque immeuble en copropriété doit être assuré par une couverture collective, au moins en ce qui concerne la responsabilité civile (particuliers).

      L'assurance collective de la copropriété sert à indemniser les victimes des dégâts qui trouvent leur origine dans les parties communes de l'immeuble. Il s'agit par exemple de sinistres provoqués par des éléments du bâtiment (par exemple, chute d'immeuble, chute d'une tuile, marche d'escalier glissante) ou par une personne affectée au service de l'immeuble (gardien, par exemple).

      C'est le syndicat des copropriétaires qui doit souscrire l'assurance responsabilité civile pour le compte de la copropriété.

      Il peut, en cas de nécessité, souscrire le contrat sans mandat de l'assemblée générale des copropriétaires, mais l'assemblée générale peut annuler ou modifier sa décision.

      Chaque copropriétaire, qu'il soit occupant de son logement ou non, doit également l'assurer, au minimum, avec la garantie responsabilité civile (particuliers).

      Cette assurance permet de couvrir le copropriétaire qui l'a souscrite, lorsqu'un sinistre prend naissance dans son logement et a causé des dommages aux occupants de son logement, à des voisins ou aux parties communes de l'immeuble.

      L'assurance multirisques de l'immeuble est une assurance facultative qui peut être souscrite par le syndicat des copropriétaires. Cette assurance permet d'indemniser les dommages subis par les parties communes de l'immeuble qui ne peuvent pas être indemnisés par l'assurance responsabilité d'un copropriétaire.

      À noter

      La convention IRSI concerne les dégâts des eaux et incendies survenus dans les immeubles d'habitation, pour lesquels le montant des dommages matériels n'excède pas 5 000 € HT. Elle vise à simplifier la gestion des sinistres en désignant un seul assureur pour chaque mission, y compris lorsque le sinistre touche une partie privative et affecte des tiers ou les parties commune.

      Qui doit déclarer le sinistre qui affecte les parties communes d'un immeuble ?

      En cas de dommage causé par un événement qui a pris naissance dans les parties communes de l'immeuble, c'est le syndic qui doit faire une déclaration à l'assurance de la copropriété.

      L'assurance de la copropriété ne fonctionnera que si le sinistre concerne une partie commune.

      En cas de dommages causés par un événement qui a pris naissance dans une partie privative de l'immeuble, c'est le copropriétaire du logement concerné qui doit faire une déclaration à son assurance.

      L'assurance ne fonctionnera pas si le sinistre a pris naissance dans une partie commune.

      La convention IRSI permet d'éviter les difficultés liées à la multiplicité des assureurs qui peuvent être concernés par la gestion d'un sinistre ayant un lien avec les parties communes d'un immeuble,

      La convention IRSI est un accord entre les compagnies d'assurance pour faciliter la prise en charge et l'indemnisation des sinistres incendie et dégâts des eaux pour les immeubles en copropriété.

      Elle prévoit qu'un seul assureur doit être désigné pour assurer l'une des 3 missions suivantes :

      • Gestion du dossier de demande d'indemnisation (prise en charge de la demande, estimation du préjudice, réalisation d'expertises etc..)

      • Recherche et réparation de fuite en cas de dégâts des eaux

      • Versement de l'indemnisation aux victimes du sinistre

      La convention fixe également les règles claires de désignation des assureurs chargés de ces missions.

      Elle s'applique aux sinistres dégâts dont la réparation des dommages ne dépasse pas 5 000 € hors taxes.

      Attention

      La convention IRSI ne s'applique pas aux sinistres intervenus dans les chambres d'hôtel et dans les chambres d'hôtes. Elle ne s'applique pas non plus aux sinistres dont l’origine est extérieure à l’immeuble (ex. : intempéries, inondations, catastrophe naturelle), et à ceux dépassant les seuils financiers définis.

      Comment se fait la gestion d'un litige parties communes via la convention IRSI ?

      Désignation d'un assureur gestionnaire du dossier d'indemnisation

      La convention prévoit qu'en cas de sinistre dans les parties communes d'un immeuble, c'est l'assureur de la copropriété qui est l'assureur gestionnaire du sinistre.

      Désignation d'un assureur chargé de la recherche de fuite (si dégât des eaux)

      En cas de dégât des eaux affectant les parties communes d’un immeuble, la convention IRSI prévoit que c’est l’assureur de la copropriété qui organise la recherche de fuite.

      Toutefois, si l’origine de la fuite est localisée dans un lot privatif, c’est l’assureur du propriétaire de ce local qui doit en assumer le coût, même si la recherche a été engagée par un autre assureur (celui de la copropriété ou d’un voisin lésé, par exemple). Cette règle vise à clarifier les responsabilités et à éviter les blocages entre assureurs.

      Désignation d'un assureur chargé de l'indemnisation

      La convention IRSI fixe des règles de désignation de l'assureur chargé de l'indemnisation.

      La situation varie selon la valeur du litige.

      Préjudice de moins de 1 600 €

      Pour les dégâts dont la valeur est inférieure à 1 600 €  hors taxes, c'est l'assureur gestionnaire qui indemnise, sans recours possible contre un autre assureur.

        Préjudice de plus de 1 600 €

        Pour les dégâts dont la valeur est comprise entre 1 600 €  et 5 000 € hors taxes, l'assureur gestionnaire doit effectuer une expertise pour le compte des autres assureurs.

        Il doit indemniser les victimes, mais avec la possibilité d'exercer des recours contre les autres assureurs.

          Pour en savoir plus

          Voir aussi...

          A noter :
          le délai de recours contentieux des tiers à l’encontre de votre autorisation est de deux mois à partir de la date de l’affichage sur le terrain. Il est donc très important d’afficher correctement votre autorisation et de pouvoir, en cas de conflit, en prouver la réalité (témoignages, photos, constats d’huissier…).

          Si, dans un immeuble en copropriété, un sinistre (incendie ou dégât des eaux) survient dans les parties communes ou dans un logement privatif, l'indemnisation peut s’avérer complexe, car plusieurs assurances peuvent être impliquées, selon l’origine et l’emplacement du sinistre. Qui prend en charge les réparations et comment fonctionne l'indemnisation ? Voici les informations à connaître.

          Pour simplifier la gestion de ces situations, les compagnies d’assurance ont mis en place une convention spécifique : la convention IRSI. Elle s’applique aux sinistres ayant pour origine une partie privative comme aux sinistres affectant les parties communes, dès lors que certaines conditions sont remplies.

          Quelles sont les assurances qui couvrent les parties communes d'un immeuble ?

          Les parties communes d'un immeuble peuvent être couvertes par 3 types d'assurance :

          Chaque immeuble en copropriété doit être assuré par une couverture collective, au moins en ce qui concerne la responsabilité civile (particuliers).

          L'assurance collective de la copropriété sert à indemniser les victimes des dégâts qui trouvent leur origine dans les parties communes de l'immeuble. Il s'agit par exemple de sinistres provoqués par des éléments du bâtiment (par exemple, chute d'immeuble, chute d'une tuile, marche d'escalier glissante) ou par une personne affectée au service de l'immeuble (gardien, par exemple).

          C'est le syndicat des copropriétaires qui doit souscrire l'assurance responsabilité civile pour le compte de la copropriété.

          Il peut, en cas de nécessité, souscrire le contrat sans mandat de l'assemblée générale des copropriétaires, mais l'assemblée générale peut annuler ou modifier sa décision.

          Chaque copropriétaire, qu'il soit occupant de son logement ou non, doit également l'assurer, au minimum, avec la garantie responsabilité civile (particuliers).

          Cette assurance permet de couvrir le copropriétaire qui l'a souscrite, lorsqu'un sinistre prend naissance dans son logement et a causé des dommages aux occupants de son logement, à des voisins ou aux parties communes de l'immeuble.

          L'assurance multirisques de l'immeuble est une assurance facultative qui peut être souscrite par le syndicat des copropriétaires. Cette assurance permet d'indemniser les dommages subis par les parties communes de l'immeuble qui ne peuvent pas être indemnisés par l'assurance responsabilité d'un copropriétaire.

          À noter

          La convention IRSI concerne les dégâts des eaux et incendies survenus dans les immeubles d'habitation, pour lesquels le montant des dommages matériels n'excède pas 5 000 € HT. Elle vise à simplifier la gestion des sinistres en désignant un seul assureur pour chaque mission, y compris lorsque le sinistre touche une partie privative et affecte des tiers ou les parties commune.

          Qui doit déclarer le sinistre qui affecte les parties communes d'un immeuble ?

          En cas de dommage causé par un événement qui a pris naissance dans les parties communes de l'immeuble, c'est le syndic qui doit faire une déclaration à l'assurance de la copropriété.

          L'assurance de la copropriété ne fonctionnera que si le sinistre concerne une partie commune.

          En cas de dommages causés par un événement qui a pris naissance dans une partie privative de l'immeuble, c'est le copropriétaire du logement concerné qui doit faire une déclaration à son assurance.

          L'assurance ne fonctionnera pas si le sinistre a pris naissance dans une partie commune.

          La convention IRSI permet d'éviter les difficultés liées à la multiplicité des assureurs qui peuvent être concernés par la gestion d'un sinistre ayant un lien avec les parties communes d'un immeuble,

          La convention IRSI est un accord entre les compagnies d'assurance pour faciliter la prise en charge et l'indemnisation des sinistres incendie et dégâts des eaux pour les immeubles en copropriété.

          Elle prévoit qu'un seul assureur doit être désigné pour assurer l'une des 3 missions suivantes :

          • Gestion du dossier de demande d'indemnisation (prise en charge de la demande, estimation du préjudice, réalisation d'expertises etc..)

          • Recherche et réparation de fuite en cas de dégâts des eaux

          • Versement de l'indemnisation aux victimes du sinistre

          La convention fixe également les règles claires de désignation des assureurs chargés de ces missions.

          Elle s'applique aux sinistres dégâts dont la réparation des dommages ne dépasse pas 5 000 € hors taxes.

          Attention

          La convention IRSI ne s'applique pas aux sinistres intervenus dans les chambres d'hôtel et dans les chambres d'hôtes. Elle ne s'applique pas non plus aux sinistres dont l’origine est extérieure à l’immeuble (ex. : intempéries, inondations, catastrophe naturelle), et à ceux dépassant les seuils financiers définis.

          Comment se fait la gestion d'un litige parties communes via la convention IRSI ?

          Désignation d'un assureur gestionnaire du dossier d'indemnisation

          La convention prévoit qu'en cas de sinistre dans les parties communes d'un immeuble, c'est l'assureur de la copropriété qui est l'assureur gestionnaire du sinistre.

          Désignation d'un assureur chargé de la recherche de fuite (si dégât des eaux)

          En cas de dégât des eaux affectant les parties communes d’un immeuble, la convention IRSI prévoit que c’est l’assureur de la copropriété qui organise la recherche de fuite.

          Toutefois, si l’origine de la fuite est localisée dans un lot privatif, c’est l’assureur du propriétaire de ce local qui doit en assumer le coût, même si la recherche a été engagée par un autre assureur (celui de la copropriété ou d’un voisin lésé, par exemple). Cette règle vise à clarifier les responsabilités et à éviter les blocages entre assureurs.

          Désignation d'un assureur chargé de l'indemnisation

          La convention IRSI fixe des règles de désignation de l'assureur chargé de l'indemnisation.

          La situation varie selon la valeur du litige.

          Préjudice de moins de 1 600 €

          Pour les dégâts dont la valeur est inférieure à 1 600 €  hors taxes, c'est l'assureur gestionnaire qui indemnise, sans recours possible contre un autre assureur.

            Préjudice de plus de 1 600 €

            Pour les dégâts dont la valeur est comprise entre 1 600 €  et 5 000 € hors taxes, l'assureur gestionnaire doit effectuer une expertise pour le compte des autres assureurs.

            Il doit indemniser les victimes, mais avec la possibilité d'exercer des recours contre les autres assureurs.

              Pour en savoir plus

              Voir aussi...

              Le domaine public est un espace utilisé par tous. L’usage privatif d’une partie de cet espace est parfois nécessaire notamment dans le cadre de travaux, de déménagement…
              Afin d’assurer la sécurité des personnes, régler la circulation et prévenir les services de secours, ces occupations ponctuelles sont soumises à une autorisation préalable. Le Maire autorise cette utilisation à des fins professionnelles ou personnelles en prenant en compte les besoins du demandeur.

              Dans le cas de travaux sur la voirie, la dépose d’une déclaration de travaux (DT) et d'une déclaration d’intention de commencement des travaux (DICT) est obligatoire à chaque exploitant d’ouvrage (services communaux, intercommunaux, Enedis, Grdf, France Telecom...) afin de s’assurer de la localisation de réseaux sur le lieu de l’intervention.

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              La Police municipale délivre les arrêtés de circulation et les autorisations de voirie (stationnement/dépôt) qui vous seront éventuellement nécessaires et le pôle Projets et Bureau d’Etudes a en charge la délivrance des permissions de voirie.

              Demande d'implantation grue

              Dématérialisation de l’instruction des autorisations d’urbanisme à compter du 1er janvier 2022. Dès à présent vous pouvez déposer votre dossier par voie dématérialisée via le site www.e-permis.fr

              Le service urbanisme est ouvert au public les jours suivants :
              - Lundi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Mardi de 8h30 à 12h
              - Mercredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h
              - Jeudi de 13h30 à 17h
              - Vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h